En fait, j'ai rencontré ce cheval il y a un an au détour d'un chemin, et comme nous ne connaissions alors pas son propriètaire, mes cousins lui ont choisi ce fameux pseudonyme, "Pedro". Et il lui est resté depuis lors.
Mais je dois dire que le nom lui va assez bien, car il a pour moi une connotation chaleureuse, sécurisante, un peu lourde de tendresse.. En fait quand on me dit Pedro, je vois maintenant cet étalon et ce sont les raisons pour lesquelles ces adjectifs me viennent.

Que valent la légéreté du pur-sang arabe et l'extrème adresse du quarter-horse face au doux regard de ce géant? Une force tranquille que rien ne semble pouvoir bouleverser, pas même le vent puissant qui joue dans sa crinière et qui fait pourtant plier les arbres alentours..

Vous pensez que j'éxagère un peu (même beaucoup), il faudrait que je vous présente cet étalon pour que vous compreniez que le regard qu'il m'inspire me transforme en (maladroite) poéte.. ce que j'essayerai donc de faire avec différents clichés, pour que vous puissiez voir ces "lourds" d'un autre oeil, ces lourds qui me donnent envie d'aller voir au-delà de l'apparence même, et cela du pas dansant de Pedro sur cette photo.

Est-ce le hasard si nos lourds connaissent de plus en plus de succès?? Mystère

(Veuillez pardonner mon éternel blanc et noir J'en abuse mais la profondeur que ces couleurs donnent à la photographie me les font préférer à la réalité trop "présente" à mon goût rendue parfois par les couleurs)