Les bisous qu'il a eus dans le cou ce chat-là ne se comptent plus. Si j'étais une chatte je passerais mes journées à lui faire des léchouilles. Je comprends Kali parfois de perdre patience. Il est sans doute aux yeux de la belette le dessert extraordinaire auquel on reve et qu'on ne peut jamais se permettre.


Note: Quand j'ai écrit la description accompagnant cette photo, il y avait quelques jours qu'une autre photo et un autre texte portant sur le cou 'adorable' du matou avaient été envoyés pour publication. La proverbiale mémoire étant une faculté qui oublie, j'ai gagafié sur le même thème. Désolée.