Vous me reconnaissez ? Mon papa du week-end m'appelait 'Minette'.
Eh oui, il me croyait SDF, femelle et engrossée. Non mais ! Je suis un garçon, je m'appelle Tobi et j'ai été castré ! Il aurait besoin de lunettes, le type...
Ça me fait bien rire, moi. Et pendant qu'il me scrute sous toutes mes coutures, il me fait des câlins et me nourrit de pâtée.
Quelle intrigue pourrais-je bien lui inspirer pour qu'il continue de me gâter ?

La minette qui laissait croire qu'elle serait maman dans quelques semaines nous a trompés. Non seulement il n'y a pas de bébés à venir, elle a été stérilisée. De plus, à un kilomètre de chez mon frère, elle a un papa et une maman qui l'adorent.
Mon frère a vu son joli roman se terminer en queue de poisson mais n'est pas trop malheureux car Bouboule est au fond l'amour de sa vie. (photo 357619)

Minette revient nous faire du charme en ce dimanche.
«Tu veux faire une photo de moi ? a-t-elle dit à mon frère. Tu vas devoir prouver que tu y tiens. Suis-moi !»
Elle s'est finalement arrêtée dans le sous-bois à 50 mètres de la maison.

«Je suis enfin sur le balcon, les amis... mais j'vous jure que ça n'a pas été de la tarte de convaincre ma maman de nous laisser sortir. Connaissant mon obsession pour les hauteurs, en plus de m'arracher toutes les promesses possibles, elle m'a forcée à grimper sur une chaise et à chanter 'Maman, t'es la plus belle du monde' jusqu'à m'en donner une extinction de voix.
J'vous jure!
Bon dimanche, mes marraines ! Bon dimanche, les amis ! Je vous fais mes plus doux pattounages.»

«Est-ce le temps plus frais qui me stimule ? je suis un dynamo ces jours-ci, les amis, et ça me fait faire les pires excès. Hier, on venait tous les quatre de sortir et j'ai failli sauter sur la rambarde au nez et à la barbe de maman. Elle m'a saisie entre ciel et terre (entre plancher et rambarde).
Cette photo a été prise dans les secondes qui ont précédé mon geste. Je suis fascinée par les balcons et les bords de fenêtres du dessus.
Inutile de vous dire que j'ai été expédiée à l'intérieur manu militari, si je puis dire...»

«Tu veux me faire rentrer, maman ? Viens me chercher si tu peux...»

Satine, ma merveilleuse filleule tricolore, est en visite chez marraine. Mes chats sont fascinés par la beauté de son pelage et Gaston a les yeux grands comme des soucoupes.

Merci, Marie-Paule, de me permettre d'accueillir ta jolie minette d'amour. Je vais en prendre un soin jaloux.

«Je suis la fille mystère dans la vie du frère de Gassami. Il ne sait jamais quand je vais faire une apparition. Il ne me fait aucun reproche car depuis qu'on se connaît mieux je suis très câline. Après le dîner, pour le remercier, je fais des minauderies et me tords dans tous les sens sur la galerie. Il sait que j'attends ses câlins. Après tout, j'ai droit à sa reconnaissance quand j'y suis, c'est moi qui l'accueille à son petit chalet, et grâce à ma présence, la corvée de la tonte du gazon apporte sa dose de plaisir...»
(Les photos de Minette sont de mon frère.)

En arrivant à son chalet, mon frère a été accueilli par la mystérieuse Minette. Qui apparaît et disparaît à son gré. Où vit-elle ? Qui la nourrit ? Comme tous les chats, son mystère fait tout son charme...
(voir son blog)

«Bon, d'accord. J'ai maigri mais j'ai encore du chemin à faire pour avoir la taille de Kali....»

Bon dimanche à nos marraines Isabelle, Dominique, Jacqueline, Stéphanie et Cathy à qui on permet de nous réveiller pour nous faire des bisous. Et à vous aussi bien entendu, les taties et les amis.

La photo de Bouboule a été prise par mon frère qui est son papa.
Croyez-le ou pas, même Bouboule connaît des petites histoires.
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Un homme d'affaires traverse une région de campagne et rencontre un cultivateur qui surveille son troupeau.
- Elles sont belles vos vaches, vous en êtes satisfaits ?
- Ah ça oui ! Les blanches me donnent bien 10 lit' de lait par jour, les noires aussi d'ailleurs.
- Et vos moutons, ils font beaucoup de laine ?
- Oui-oui! Les blancs m'en font 20 kilos par an, les noirs aussi d'ailleurs.
- Et les poules là-bas. Elles ont l'air de bonnes poules.
- Ça oui ! les blanches me font beaucoup d'oeufs, les noires aussi d'ailleurs.
- Dites donc, mon brave, pourquoi distinguez systématiquement les bêtes noires et les bêtes blanches puisque de toutes façons elles produisent la même chose ?
- Ah! mais Monsieur, c'est qu'les blanches, ben, elles sont à moi!!! Les noires aussi d'ailleurs.

- J'aime pas l'avouer, Belette, mais c'est pas une mauvaise idée que t'as eue de rentrer.
- Ce sera pas la première fois que j'ai raison, l'ourson, mais on n'en parlera pas. Et tu rentres pourquoi, toi ?
- Parce que ! Ça te concerne pas...
- Ça me concerne si tu t'enlignes vers mon bac à litière préféré.
- Si ça se trouve, t'auras qu'à attendre ton tour, Belette.
- Je vais demander à maman d'installer une chattière à ma taille, l'ourson. On verra si tu fais toujours le jars.

L'épaisseur de son manteau ne change rien à l'affaire, Mischa comme tous les chats adore se chauffer sous la lumière de la lampe... une chaleur qu'hiver comme été ne leur fait jamais défaut.

Boubouline, comme l'appelle affectueusement son papa, est revenue faire un tit coucou aux amis de PA, histoire de leur faire des léchouilles et de leur souhaiter bonne semaine.
La photo est de mon frère.

Non, ce n'est pas pas une maman-chat et son bébé.... Kali fait le tiers du poids de son grand frère.



Désolée pour la qualité de la photo, il faisait nuit...

La chatte de mon frère, Bouboule, pose parfois comme le modèle d'un peintre... Winston Churchill, célèbre peintre du dimanche, aurait peut-etre délaissé ses paysages s'il l'avait connue...
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Un raseur demande à Churchill:
- Mais pourquoi ne peignez-vous que des paysages ?
- Pourquoi ? Parce que jamais un arbre n'est venu se plaindre qu'il n'était pas ressemblant...


(Désolée pour la qualité de cette photo qui a été scannée. )

Gaston et Berthine suppliaient leurs mamans : le parrain et sa filleule brulaient d'enfin se rencontrer. Berthine est donc venue se faire bizouter par son parrain qui s'est montré inquiet en la voyant.
- Je te trouve pale, Berthine. T'es pas malade, dis ?
- Non-non, parrain ! C'est ma couleur naturelle. Meme que l'émotion me fait rosir le teint un peu... Il y a si longtemps que je voulais te rencontrer.
- Et comment tu me trouves, moi ? demande l'ourson en bombant le torse.
- Foncé, parrain. T'as joué dans le charbon ?
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Merci, Denyse, pour cette belle photo de ta minette.

Quand elle veut etre tranquille, Mischa s'évade dans un de ses repaires bien camouflés dans l'appartement... Quand elle recherche la compagnie, elle sait bien que l'endroit stratégique est le comptoir. À peu près comme le milieu du bar dans un bistrot. La solitude est impensable.

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«La solitude vivifie... l'isolement tue.» (Joseph Roux)

Bouboule est furieuse. En tentant de la photographier dans le carton qu'elle affectionne depuis des années, son papa a montré un manque de respect flagrant de son intimité.
«Je veux bien que tatie Marie me montre sur PA, qu'elle a laché. Mais ma boite est sacrée !»

Ne parlez pas de condition féminine à Mischa, elle est très satisfaite de la sienne et n'est absolument pas tentée de revendiquer quoi que ce soit en ce moment. Tenez, elle a meme en prime à son déjeuner ce matin, des croquettes-gateries qu'a laissées Kali.
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«Il faut améliorer la condition féminine. Les cuisines sont trop petites, les lavabos sont trop bas. Et la queue des casseroles est mal isolée...» (Wolinski)

Minette, il y a quelques jours, a fait du petit verger de mon frère son territoire. Habilement, elle est en train de laisser ses marques jusque dans son coeur.

Il y a bien un an que Bouboule n'est pas apparue sur PA. C'est la chatte de mon frère. Pas un étranger ne peut l'approcher tellement elle est sauvage. Quand mon frère s'est absenté une quinzaine, j'ai fait du catsitting et j'ai mis des jours à pouvoir l'approcher. À la fin, elle se laissait brosser et, allongée sur le dos, elle quémandait des calins.

Les patounes de Mischa sont officiellement déposées pour la collection de patounes de Maud (Tabouille). Si elles sont deux, ça compte en double ? Et si elles sont grosses et hirsutes, on multiplie encore par 2 ? Voilà donc 8 pattounes, Maud, pour ta collection !

Je n'ai jamais connu d'autres chats que Sami, dit Gaston. J'étais follement amoureux d'elle mais je la rendais parfaitement indifférente. Ma maman songe à me donner un petit compagnon parfois, mais, pour etre franc, je préfère que personne ne vienne gacher le souvenir que j'ai de Sami.

Quand maman m'a adopté, dit Gaston, il y avait déjà un chat à la maison. Sami avait 14 ans et elle venait de perdre sa petite soeur Capucine. Elle m'a détesté à première vue et moi j'ai eu le coup de foudre pour elle. Je la suivais comme son ombre et ça l'agaçait supremement certains jours.

Minuscule Sami. Légère comme une plume. Sur cette photo, histoire d'être vue à son meilleur, elle a gonflé son pelage un brin...

C'est affligeant de songer que tout ce qu'il y a entre ces oiseaux et moi c'est ce foutu carreau...

T'as vu? Il y a plein d'oiseaux dans la ruelle. Si tu voulais, tu me laisserais aller prendre l'air...

Derrière son regard reveur, Capucine cache bien son gout immodéré pour l'escalade. Les meubles, la colline au bout du terrain, même les toits environnants n'avaient pas de secret pour elle.

J'ai toujours eu l'air jeune, dit Sami. En fait, sur cette photo, j'avais 15 ans. J'ai quitté ce monde à 20 ans, c'est vous dire comme j'étais débordante de santé.

Nous, c'est encore ici qu'on est le mieux placés pour écouter de la musique...